République la Libre
(en partie brisée)

Une entreprise de détournement du réel et de perte joyeuse des repères.

Ce spectacle déambulatoire est construit à partir de textes d’art brut et d’œuvres poétiques aux langages inventés. Des textes troués au sens échappé prennent pied sur le réel et le détournent, créant un univers surréaliste. Entre espace public et intimité, se créent des frôlements entre un public habitant et des spectateurs visiteurs.

Dans les couloirs, les halls, les ascenseurs, apparaît un peuple singulier, endormi en suspension. Il s’éveille et s’endort sans prévenir, surgit et disparaît sans trace et entraîne le public dans une dérive poétique et ludique. La scénographie se joue des repères architecturaux dans un trajet vertical qui modifie notre perception de l’instant.

«C’est une baraque absolue à n’y rien comprendre,
C’est un peuple secret et rêveur,Ils sont quelques uns,
C’est à l’intérieur d’eux-mêmes qu’il y a du monde
Quelque part dans la ville,
Ils font parler nos murs.»
D’après Henri Anton Müller

Soutiens au projet

Coproductions et résidences : Les Subsistances, Les Ateliers Frappaz.

Résidences de création : Le Citron Jaune/Ilotopie (CNAR). EnCours KomplexKapharnaüm. La Gare à Coulisses, Cie Transe Express. Le Lieu Noir.

Soutiens : DRAC Rhône-Alpes (aide à la production). DMDTS (Aide à la maquette et aide à la résidence de production). Participation artistique : ENSATT.